Description: François Doyon La Rochelle: Bienvenue à Sujet Capital, un balado mensuel à propos de la gestion passive de portefeuille et de la planification financière et fiscale pour les investisseurs à long terme. Vos hôtes pour ce balado sont James Parkyn et moi-même François Doyon La Rochelle, tous deux gestionnaires de portefeuilles avec PWL Capital. Au programme aujourd’hui pour l’épisode #77: Nous passerons en revue la performance des marchés des capitaux mondiaux pour le premier semestre de 2025. Bonne écoute ! François Doyon La Rochelle: On est officiellement arrivés à la moitié de l’année 2025 et, comme d’habitude à ce moment de l’année, on continu la tradition de faire le point sur ce qui a façonné les marchés au cours des six derniers mois, avec un survol de la performance des marchés des capitaux mondiaux. Une chose est certaine : ce début d’année a été tout sauf ennuyeux. James Parkyn: Tout à fait François, je suis entièrement d’accord. Mais la différence cette fois-ci, c’est que de nombreux investisseurs attribuent la volatilité des marchés au chaos provoqué par ce qui se passe à Washington et dans d’autres points chauds géopolitiques. La première moitié de l’année a été mouvementée et, sans aucun doute, une véritable leçon de gestion de l’imprévisibilité. François Doyon La Rochelle: Effectivement, et on va couvrir tout ça et bien plus encore dans l’épisode d’aujourd’hui. Mais avant de commencer, je tiens à rappeler à nos auditeurs que les performances des marchés que je vais partager avec eux aujourd’hui sont disponibles dans la section des ressources de notre site Sujet Capital, ou directement sur la page de notre équipe sur le site de PWL Capital. On croit que ces statistiques de marché sont des outils précieux pour suivre la discussion d’aujourd’hui et évaluer la performance de vos propres portefeuilles. James Parkyn: J’aimerais aussi ajouter pour nos auditeurs, François, qu’ils peuvent également consulter la performance de nos portefeuilles modèles sur le site Sujet Capital, dans la section des ressources, ou directement sur la page de notre équipe sur le site de PWL Capital. Encore une fois, je pense que revoir la performance de nos portefeuilles modèles est une excellente façon pour nos auditeurs d’évaluer la performance de leurs propres portefeuilles. François Doyon La Rochelle: Ceci dit, on passe maintenant à notre revue. Par où aimerais-tu commencer, James ? James Parkyn: Eh bien François, comme je le disais plus tôt, cette première moitié de l’année a vraiment été une leçon magistrale de gestion des émotions face à l’imprévisibilité des événements mondiaux. Tellement d’événements ont influencé les marchés, et aucun n’aurait pu être anticipé. Pour commencer, je pense que l’agressivité avec laquelle le président Trump a entamé son deuxième mandat, en imposant des tarifs douaniers à d’importants partenaires commerciaux, a parti le bal. François Doyon La Rochelle: Je suis tout à fait d’accord. L’événement le plus marquant pour les marchés a été l’annonce de nouveaux tarifs dans le cadre de la stratégie économique baptisée “Jour de Libération”, le 2 avril 2025. Et pour aggraver la situation, le président Trump a annoncé une nouvelle série de tarifs massifs. L’annonce a choqué les investisseurs par son ampleur, sa rapidité et son imprévisibilité. Ça a ravivé les craintes d’une guerre commerciale mondiale et a déclenché l’un des plus importants vente de feu boursiers de mémoire récente. En l’espace de deux ou trois jours, cette annonce a effacé des milliers de milliards de dollars en valeur boursière à l’échelle mondiale. L’indice S&P/TSX Composite ici au Canada a chuté de 12,2 %, le MSCI EAFE représentant les marchés internationaux a reculé de 13,2 %, et le S&P 500 aux États-Unis a perdu 14,7 %. James Parkyn: Pour être juste François, le président Trump avait déjà menacé à plusieurs reprises d’imposer des tarifs douaniers dans le passé. Mais je pense que ce qui a vraiment surpris les marchés cette fois-ci, c’est l’ampleur des mesures et surtout le projet d’imposer un droit de douane minimal de 10 % sur toutes les importations. François Doyon La Rochelle: Oui, et ça a eu un effet de surprise très négatif sur les marchés, pas seulement sur les marchés boursiers, mais aussi sur le marché obligataire. La réaction du marché obligataire a peut-être été encore plus déterminante, puisque la flambée des rendements des bons du Trésor américain a finalement forcé la Maison-Blanche à appuyer sur le bouton pause James Parkyn: Exactement François, et beaucoup pensent que c’est ce qui a poussé le président Trump à annoncer, le 9 avril, une pause temporaire de 90 jours sur l’application des tarifs douaniers. Selon moi, c’était le marché obligataire qui envoyait un message très clair à l’administration Trump : elle devra faire preuve d’une grande prudence avec ses politiques économiques. Normalement, lorsque les marchés boursiers chutent, les investisseurs se réfugient dans les obligations gouvernementales, ce qui fait baisser les rendements et monter les prix des obligations. Mais cette fois-ci, c’est l’inverse qui s’est produit : les rendements ont augmenté et les prix des obligations ont chuté, car les investisseurs craignaient que les nouveaux tarifs ravivent l’inflation. À ça s’ajoutaient les inquiétudes quant à la détérioration des déficits fédéraux américains, ce qui pourrait entraîner des ventes massives de bons du Trésor américain par les investisseurs internationaux. François Doyon La Rochelle: C’est exact James, mais encore une fois, c’est l’imprévisibilité de tout ça qui me laisse perplexe. La pause sur les tarifs douaniers a commencé avec un seul message très bref du président Trump sur Truth Social à 9 h 37 le matin du 9 avril, lorsqu’il a publié : « C’EST LE MOMENT IDÉAL POUR ACHETER ». Quelques heures plus tard, dans l’après-midi, il annonçait officiellement la pause de 90 jours. Les marchés ont fortement réagi, enregistrant la plus forte hausse en une journée depuis 2008. La psychologie des marchés est passée de la peur et la panique à l’euphorie en seulement sept jours. James Parkyn: Oui François, et ce rebond des marchés a été spectaculaire. Le S&P 500 a bondi de 9,5 %, le Nasdaq a grimpé de 12 % et le Dow Jones a gagné 8 % en une seule journée, le 9 avril. François Doyon La Rochelle: James, je pense que c’est un parfait exemple de pourquoi il ne faut pas se laisse tenter à faire du Market Timing. Si un investisseur avait vendu ses placements lors de l’annonce des tarifs le 2 avril, mais n’avait pas réinvesti lorsque les marchés ont atteint leur creux le 7 avril, soit seulement deux séances boursières plus tard, cet investisseur aurait causé des dommages permanents à son portefeuille. James Parkyn: Tu as tout à fait raison François, c’est un excellent rappel que réagir de façon émotive peut coûter cher et nuire à la performance de nos portefeuilles. Comme on l’a souvent dit au fil des années dans notre balado, le « market timing » n’est pas une stratégie que nos auditeurs devraient adopter. Alors, qu’est-ce qui s’est passé d’autre dans la première moitié de l’année ? François Doyon La Rochelle: Eh bien James, sur le plan géopolitique, les sources d’inquiétude ne manquaient pas. Il y a toujours cette guerre qui persiste entre l’Ukraine et la Russie, et bien sûr, des tensions commerciales mondiales qui se sont accentuées. Particulièrement entre les deux superpuissances, les États-Unis et la Chine. Et il faut ajouter à tout ça les événements récents au Moyen-Orient, notamment les derniers développements dans la guerre entre Israël et l’Iran. James Parkyn: Oui, et encore un autre exemple, l’attaque sur les sites nucléaires iraniens, évènement totalement imprévisible. Suite à tous ces événements, le prix du pétrole a bondi de 16 %, passant de moins de 70 $ le baril à plus de 81 $. Mais lorsque les États-Unis ont imposé un cessez-le-feu dans les jours qui ont suivi, le prix du pétrole a baissé aussi rapidement qu’il était monté, au fur et à mesure que les craintes s’estompaient. François Doyon La Rochelle: Encore une fois, complètement imprévisible, et heureusement, comparé à des conflits passés comme l’embargo pétrolier de 1973 ou la guerre du Golfe de 1990, la flambée des prix du pétrole a été de courte durée. Du côté économique maintenant, l’inflation continue de se modérer à l’échelle mondiale. Au Canada, l’inflation est passée sous la barre des 2 % en avril, et se situe maintenant à 1,7 % contre 2,7 % en mai l’année dernière. Ça a permis à la Banque du Canada de réduire son taux directeur à 2,75 % comparativement à 3,25% en début d’année. En ce qui concerne le PIB, l’économie canadienne est toujours en croissance, bien que de façon modeste – elle s’est même légèrement contractée en avril par rapport à mai, mais sur une base annuelle, elle continue de progresser à un rythme de 1,3 %. James Parkyn: J’ajouterais François qu’aux États-Unis, la situation est un peu différente. L’inflation a augmenté en mai pour atteindre 2,4 %, ce qui reste par contre nettement mieux qu’il y a un an, où elle était de 3,3 %. Cependant, malgré cette amélioration, la Réserve fédérale a laissé son taux directeur inchangé jusqu’à présent en 2025, à 4,5 %. Je crois que la raison principale, c’est que l’économie américaine demeure solide et le marché de l’emploi est robuste, avec un taux de chômage qui a même reculé jusqu’à 4,1 % en juin. Et tout ça malgré les pressions exercées par le président Trump pour une baisse des taux. Jerome Powell, le président de la Fed, est resté ferme et a maintenu les taux inchangés, jonglant avec l’équilibre délicat entre le contrôle de l’inflation et le risque de ralentissement économique. François Doyon La Rochelle: Ailleurs, la Banque centrale européenne a réduit son taux de dépôt clé à 2,00 % en juin, après que l’inflation dans la zone euro soit revenue à 2,0 %. Au Royaume-Uni, la Banque d’Angleterre, qui fait face à une inflation persistante actuellement à 3,4 %, a abaissé son taux directeur à deux reprises cette année, pour le ramener à 4,25 %. James Parkyn: Pour conclure sur l’économie, François, je pense qu’il est juste de dire que, dans l’ensemble, les banques centrales commencent prudemment à s’orienter vers des politiques plus accommodantes, tout en cherchant à soutenir la croissance sans raviver l’inflation. François Doyon La Rochelle: Je suis d’accord James. Maintenant, regardons les statistiques de marché pour la première moitié de 2025. Encore une fois, je rappelle à nos auditeurs que ces statistiques sont disponibles sur le site de Sujet Capital et dans la section de notre équipe sur le site de PWL Capital. Nous ajouterons aussi le lien vers les statistiques de marché sur la page de l’épisode. Donc commençons avec le revenu fixe. Les rendements obligataires au Canada et aux États-Unis demeurent bien au-dessus des moyennes observées au cours des 20 dernières années. Au Canada, le rendement des obligations du gouvernement du Canada à échéance dans 10 ans était d’environ 3,3 % au 30 juin, soit près de 80 points de base au-dessus de la moyenne de 20 ans qui est de 2,5 %. Aux États-Unis, le rendement des obligations du Trésor à échéance dans 10 ans était d’environ 4,4 % au 30 juin, soit un niveau similaire à celui d’il y a un an et environ 150 points de base au-dessus de la moyenne de 20 ans qui est de 2,9 %. Les obligations canadiennes à court terme, qui sont au cœur de nos portefeuilles de revenu fixe, ont généré une performance intéressante dans la première moitié de l’année, avec un rendement de 2,2 %, ce qui est supérieur à l’indice obligataire universel canadien qui a généré 1,4 %. Sur les 12 derniers mois, les performances ont été similaires avec 6,3 % pour les obligations à court terme et 6,1 % pour l’indice obligataire universel canadien. James Parkyn: Oui, et comparativement aux années de la pandémie, les rendements des obligations canadiennes demeurent attrayants, se situant entre 3 % et 3,5 %. C’est encore une très bonne nouvelle pour les investisseurs qui détiennent une part importante de leur portefeuille en obligations. Maintenant François, voyons ce qui s’est passé sur les marchés boursiers mondiaux. François Doyon La Rochelle: Eh bien James, la première moitié de l’année a été étonnamment forte à l’échelle mondiale, malgré tout le bruit entourant les tarifs, les guerres commerciales et le contexte géopolitique difficile. Au Canada, l’indice S&P/TSX Composite s’est bien comporté avec une performance de 10,2 % depuis le début de l’année. Une grande partie de cette vigueur provient des secteurs de l’énergie et des matériaux, et particulièrement des producteurs d’or, puisque le prix de l’or a atteint des sommets historiques. Sur les 12 derniers mois, l’indice S&P/TSX a généré un rendement de 26,4 %. James Parkyn: Je pense François qu’on peut dire que beaucoup d’investisseurs seront très surpris par la performance des actions canadiennes. Le Canada a pourtant été une cible de choix du président Trump sur les tarifs douaniers. On aurait pu s’attendre à ce que l’impact négatif sur l’économie canadienne pèse sur les actions canadiennes mais ça n’a pas été le cas. Maintenant François, voyons comment les actions américaines se sont comportées. François Doyon La Rochelle: Les marchés américains ont connu des montagnes russes cette année. Début avril, le S&P 500 et le Nasdaq étaient tous deux en territoire baissier après avoir perdu plus de 20 % par rapport à leurs sommets précédents. Cette correction a été déclenchée par les tensions commerciales, les préoccupations liées aux valorisations et les risques géopolitiques. Mais ensuite, il y a eu un rebond, une fois que les États-Unis ont suspendu les tarifs en avril, le sentiment des marchés s’est inversé. Nous atteignons maintenant de nouveaux sommets historiques sur le S&P 500. James Parkyn: Oui, c’est une remontée spectaculaire pour les actions américaines. Depuis les creux d’avril, l’indice S&P 500 est maintenant en hausse d’environ 28,5 % en dollars américains. C’est une reprise très puissante, et c’est pourquoi il est si important de rester investi en tout temps. Comme je l’ai mentionné plus tôt, si un investisseur vend au creux des marchés et manque un rebond majeur comme celui-ci, ça aura un impact permanent sur son capital et, par conséquent, sur ses rendements à long terme. François Doyon La Rochelle: Je suis totalement d’accord James, mais malgré ces fluctuations majeures, le marché total américain est en hausse de seulement 5,8 % depuis le début de l’année en date de la fin juin, et ce en dollars américains. En dollars canadiens, la hausse est de seulement 0,2 %, car le dollar canadien s’est apprécié par rapport au dollar américain depuis le début de l’année. Sur les 12 derniers mois, l’indice total du marché américain est en hausse d’environ 15 %, que ce soit en dollars canadiens ou en dollars américains. James Parkyn: François, je pense qu’on peut dire que le dollar américain est sous pression face à de nombreuses grandes devises depuis le début de l’année. Selon mes lectures, le dollar américain a chuté de 10,8 % par rapport à un panier de devises comprenant l’euro, le yen, et la livre sterling par exemple. Ceci s’explique par plusieurs facteurs, comme l’instabilité commerciale causée par les tarifs douaniers, les préoccupations budgétaires entourant la « Big Beautiful Bill » qui vient d’être adoptée, la dégradation de la côte de crédit des États-Unis en mai par l’agence Moody’s, et enfin la possibilité de baisses de taux de la Fed plus tard cette année, ce qui affaiblirait davantage le dollar. François Doyon La Rochelle: C’est exact James, les marchés détestent l’incertitude et avec tout ce qui se passe actuellement aux États-Unis, je pense que la prime de refuge du dollar est en train de s’effriter et certains commencent même à remettre en question son rôle de monnaie de réserve mondiale. Pour terminer avec les actions américaines, il faut noter que les actions de petites capitalisations ont eu de la difficulté cette année, elles affichent une baisse d’environ 7 % depuis le début de l’année, ceci en dollars canadiens. James Parkyn: On peut aussi ajouter ce qui est rapporté dans les médias financiers : les investisseurs internationaux semblent réallouer une partie de leurs placements des actions américaines vers les actions internationales. Sur ce François, peux-tu partager maintenant avec nos auditeurs ce qui s’est passé sur les marchés internationaux développés et émergents. François Doyon La Rochelle: Eh bien James, je peux dire que les deux marchés ont connu une très bonne performance. Les actions des marchés développés internationaux, mesurées par l’indice MSCI EAFE, sont en hausse de 13,2 % en dollars canadiens depuis le début de l’année. En devises locales, la progression est de 7,8 %. La différence de rendement s’explique par l’appréciation des principales devises de cet indice face au dollar canadien. Comme en 2024, les actions internationales de type valeur, de grandes et de moyennes capitalisations, continuent de surperformer les actions de croissance avec un rendement de 16,4 % depuis le début de l’année, contre 9,9 % pour les actions de croissance. Contrairement aux États-Unis, les petites capitalisations internationales ont bien performé et elles ont surpassé les grandes et moyennes capitalisations avec un rendement de 14,5 % en dollars canadiens. Les marchés émergents ont également connu un bon début d’année : les grandes et moyennes capitalisations ont généré un rendement de 9,5 % en dollars canadiens et les petites capitalisations ont affiché un rendement honorable de 5,1 %. James Parkyn: Donc, dans l’ensemble François, on peut dire que la première moitié de 2025 a été très volatile, mais que les investisseurs qui sont restés investis dans des portefeuilles bien diversifiés à l’échelle mondiale s’en sont bien sortis. Comme nous l’avons mentionné plus tôt, même si les six premiers mois de l’année ont été une véritable leçon d’imprévisibilité – entre les chutes des marchés boursiers, les rebonds spectaculaires, la saga des tarifs et les tensions géopolitiques – les raisons de s’inquiéter étaient nombreuses. Mais les marchés nous ont encore une fois appris que la discipline face à notre répartition stratégique d’actifs à long terme reste la meilleure option. François Doyon La Rochelle: Je suis d’accord James, et même si on ne peut pas prédire ce que nous réserve la deuxième moitié de l’année, on peut se préparer en restant ancrés dans les faits et la clarté. C’est vraiment le cœur de notre message : rester discipliné, rester diversifié et s’en tenir à son plan d’investissement à long-terme. Garder un portefeuille patient et une perspective à long terme. James Parkyn: Très bien dit François, je pense qu’on peut conclure ici. François Doyon La Rochelle: Merci James Parkyn d’avoir partagé ton expertise et ton savoir aujourd’hui. James Parkyn: Il m’a fait plaisir François. François Doyon La Rochelle: Hé bien c’est tout pour ce 77ième épisode de Sujet Capital! Nous espérons que vous avez aimé. N’hésitez pas à nous envoyer vos questions et suggestions. Vous pouvez nous joindre par courriel à: sujetcapital@pwlcapital.com Également, si vous souhaitez notre expertise dans la gestion de vos actifs, vous pouvez nous joindre en cliquant sur le bouton contactez-nous qui se trouve sur la page d’accueil de sujet capital et sur toutes nos publications. De plus, si vous aimez notre podcast, partagez-le avec votre famille et vos amis et si vous n’y êtes pas abonné, faites-le SVP. Encore une fois, merci d’être à l’écoute et joignez-vous à nous pour notre prochain épisode à paraitre le 13 aout. N’oubliez pas de consulter le site Web de sujet capital pour voir nos derniers blogues. A bientôt.
Dans cet épisode, James Parkyn & François Doyon La Rochelle passent en revue la performance des marchés des capitaux mondiaux pour le premier semestre de 2025.
– Statistiques de marché – juin 2025 | PWL Capital: Parkyn-Doyon La Rochelle French par Raymond Kerzerho – PWL Capital